France, Language

France…rêve d’enfance

J’ avais environ 10 ans quand papa m’a emprunté une série de 4 livres de la bibliothèque chez son boulot. Quand j’ai eu commencé à lire ces livres, je n’avais jamais imaginé qu’ils vont tellement changer ma vie. Ces livres ont été écrits en bengalie, par Narayan Gangopadhyay, un écrivain très connu pour son caractère immortel en la littérature bengali, de genre comédie, Tenida. Mais aussi, M. Gangopadhyay était un maître de la langue française et partout dans ses écritures, n’importe pour les enfants ou les choses sérieuses, on y trouvera les mots ou références français. Quand même j’ai ri aux éclats avec chaque nouvelle aventure de Tenida, c’était là où j’ai rencontré mes premières mots français de la grande Méphistophélès (parlé en bengalie comme Di la grandi mefistofilise), et monsieur venez avec moi. Et comme ça commencé un voyage qui m’a très enrichis pendant les années à venir, quelque chose dont je suis très passionné, d’apprendre la langue française.

Depuis ce moment-là et jusqu’à l’année où j’ai fait mon Bac, j’ai appris plusieurs choses sur France…Les villes les plus connues, la révolution française, la renaissance, des écritures de Victor Hugo, Alexandre Dumas. En plus, ma ville Calcutta est connue comme Paris de l’orient, pour son histoire et son patrimoine culturel, avec la majorité des écrivains, artistes, réalisateurs indiens pendant les années 90 s arrivant de Calcutta. Malgré tout ça, ma française n’était pas meilleur, et l’espoir d’apprendre la langue n’était plus un priorité, un raison d’être, surtout parce qu’il n’y avait pas ni d’opportunité ni d’argent pour apprendre une langue étrangère. Mais pendant ces années-là, je n’ai jamais complètement quitté l’envie d’apprendre français un beau jour, comme un espoir que vous ne jamais laissez partir.

Et donc quand je suis allé à l’uni, comme d’habitude, j’étais inspiré par les pensées communiste et devenu un anarchiste. On est rencontré avec les idées de Camus et Sartre, de films du genre la nouvelle vague, de Godard et Truffaut. Encore, c’était quasiment impossible de trouver ces livres ou les CDs des films ces jours-là. Quand j’ai commencé à travailler en 2000, pendant les 5 années prochaines, j’ai acheté quelques livres français pour le premier niveau, chez le magasin de l’alliance française de Calcutta, dans la fameuse foire du livre de Calcutta. Enfin, en 2006 après avoir me convaincre la dernière fois, un samedi soir, je suis allé à l’alliance française et un vieux bâtiment m’a accroché, ou je serai poursuivre ma rêve d’enfance, en quittant les soirs de weekend avec mes chers amis bavarder sur des petits-riens, un passe-temps très connu ou méconnu pour les citoyens Calcuttan.

C’était pendant les temps quand j’étais étudiant chez AFC, qu’un millier des fenêtres ont été ouvertes montant France et sa culture et la vie moderne dans le 21e siècle, et l’envie d’en savoir plus a devenu plus vif. À part d’améliorer mon vocabulaire français en la classe, j’allais à la bibliothèque d’AFC, et j’ai lu mes Bds très aimés Tintin et Astérix en leurs langues natives. Je lisais aussi un magazine pour les enfants, j’aime lire et un autre, je bouquine destinée aux ados. Ces livres, n’importe que n’étant pas bien avancé, m’enrichis beaucoup comment j’utilisais les expressions quotidiennes et agrandir mon vocabulaire. Pour les films, j’ai trouvé un trésor enfin, que je cherchais depuis longtemps – le petit soldat de Godard. Inspiré de voir plus. J’ai aussi commencé à aller à Nandan, un ciné géré par le gouvernement, pour voir les films français gratuit en montant la carte d’identité de AFC. Touts ces efforts et sacrifices ont enfin bien payé quand j’ai gagné première place dans tous les examens géré par l’institut et le ministère d’éducation française par le gouvernement français. Les résultats m’ont beaucoup plaît, mais je voulais plus apprendre et à mon avis, je n’étais pas plus avancé où je voulais être.

En 2008, je suis arrivé à l’Angleterre poursuivre mon rêve de maîtriser en gestion, et accéder les matériaux français a devenu très facile soit YouTube, soit un copie de le monde, soit sur l’univers du torrent. J’ai découvert Audrey Tautou, une actrice très doué sans limite de notre temps, et Romain Duris. J’ai trouvé Camille et Lara Fabian et leurs voix addictives. C’était comme accéder la prochaine étage d’un événement J’étais aussi membre d’un groupe francophone à université, et quand même on n’a pas beaucoup de temps pour un rendez vous, j’avais bien profité pendant nôtre rendez-vous avec les amis.

Dès que l’arrivé à l’Angleterre il y a sept ans, j’ai toujours voulu visiter France pour voir la paysage avec mes yeux-même, pas dans un photo d’un livre ou film, mais ce n’était pas possible pour plusieurs raisons. Je rêvais d’aller à Paris depuis longtemps, monter la Tour Eiffel, visiter la Louvre, faire la promenade sur l’avenue de champs Elysée. Sans doute, il y a beaucoup plus de France que seulement Paris, mais pour moi, qui ai grossi dans une cité plus inspiré par Paris, ce serait comme compléter un cercle entier.

En 2010 j’ai trouvé un USB pendant travailler en Londres à côté d’un rue, et malgré toutes les précautions de risquer la santé de mon ordinateur, je l’ai connecté pour accéder les contenus et trouvé, par chance, un film français bienvenue chez les Chti’s, sur la vie d’un emploi vivant en Nord pas de calais. Plusieurs mois et ans sont passés, et quand notre petite fille Sofia a reçu son passeport mi-janvier, j’ai décidé qu’on va plutôt aller au pays que j’ai toujours regardé comme le pinacle d’égalité, de socialisme et pensées créatives et intellectuelles. Et donc en février, précisément au jour de St Valentin, nous sommes abordés un bateau P&O Ferries vers Calais, et enfin vers 13 h d’après-midi d’un jour bien ensoleillé, j’ai mis mes pieds sur la plage de Calais, et je me suis souvenu, Bienvenue chez…Que je suis enfin en la terre des Chti’s, un morceau de France que je connais seulement par un film, mais c’était une réalité, pas une image cache dans la mémoire. Malgré qu’on n’était pas très loin de Londres, j’en étais en esprit, car c’était la terre que je rêvais voir un jour, la terre de révolution, de Rousseau, d’Amélie Poulain, d’Alpes. C’est difficile d’écrire l’émotion, mais j’étais très heureux là, comme si j’ai croisé les six degrés de séparation, un voyage tout à fait satisfaisant, assez long, mais bien récompensé et plein de richesse et bonheur.

Il y à beaucoup d’espoir pour l’avenir, qu’un jour je vais recommencer apprendre France dans le niveau prochain où j’ai arrêté, que j’enseigne Sofia pour que français puisse sa deuxième langue, mais c’est un autre histoire à raconter… 

Advertisement
Standard